Balade patrimoniale organisée dans le cadre du souvenir des victimes du 17 octobre 1961.
De Belsunce à Noailles, laissez-vous conter l’histoire de ces artistes immigrés, qui ont enrichi le patrimoine culturel français.
Grâce aux chanteurs à succès, danseuses et serveuses montantes, les cabarets orientaux foisonnent à Paris entre la Libération et les années 1980. Marseille, ville d’immigration et porte du sud, n’échappe pas à cette tendance.
Lieux de sociabilité et de divertissement, les cabarets orientaux et cafés nord-africains ne restent pas en marge des luttes anticoloniales. Espaces privilégiés de recrutement du FLN, ils furent soumis à un contrôle et une surveillance policière quasi constants.
INSCRIPTION OBLIGATOIRE : Auprès de Anaëlle Chauvet, mediation(at)gmail.com
TARIF : 10 euros en plein tarif, 5 euros en tarif réduit (demandeurs d’emploi, étudiants et bénéficiaires du RSA).