Agenda Partenaires

Un colloque organisé par l'ACHAC Depuis plusieurs années, le Groupe de recherche Achac a entrepris un long travail de recherche sur le lien entre l’histoire et son utilisation par les médias dans le cadre de l’expression des mémoires collectives. Cette année, la suite de la réflexion se poursuit avec un questionnement autour des commémorations nationales

Au moment où, à la suite des guerres, des dictatures, de la déstructuration de pays du Proche et Moyen-Orient et d'Afrique, et de la misère qui en découle, des dizaines de milliers d'exilés essayent de gagner l'Europe, le gouvernement présente devant le Parlement un projet de loi sur le Droit des étrangers. Ce projet de

La Maison d’Histoire et de Mémoire d’Ongles organise sa 7ème journée d'étude: « Les quatre exils de 1962 » Les accords d'Evian, du 19 mars 1962, prévoyaient qu’un référendum décide du sort de l’Algérie. Ils provoquèrent quatre exils : celui des "Européens d'Algérie", celui des Juifs algériens, celui des supplétifs de l'armée française, mais aussi

Colloque « Frontières, sociétés et droit en mouvement : les politiques migratoires méditerranéennes, de l’Europe au Sahel » Issue d’une volonté de dialogue entre juristes et sociologues sur la question complexe des politiques migratoires méditerranéennes, cette rencontre internationale entre chercheurs venus des deux côtés de la Méditerranée, vise à échanger et à s’interroger sur les

Le 15 octobre 2015, le programme Non-lieux de l’exil accueille le projet “Moving Matters Traveling Workshop” coordonné par Susan Ossman pour une séance de réflexions communes autour des notions d’exil, de migration,  d’expérience et de représentation en préparation du projet de colloque en deux temps en mars prochain : Los Angeles (University of California Riverside) et

Colloque organisé par le Groupement d’intérêt scientifique « Institutions patrimoniales et pratiques interculturelles » au Musée de l'Histoire de l'Immigration, porte Dorée à Paris. Depuis une dizaine d’années, on assiste à l’émergence de nouvelles façons de faire patrimoine, de faire de la recherche, de croiser des pratiques professionnelles et citoyennes. Ces expériences multiples, le Groupement d’intérêt scientifique